Je ne sais pas à quel point c’était nouveau mais il y a clairement eu une vague de marketing vers 1992 pour tenter de nous écarter de notre cher Nutella. Raté! C’est encore ma pâte à tartiner préférée aujourd’hui même si chaque tartine est désormais accompagnée d’un sentiment de culpabilité envers les babouins d’abord (même si Nutella dit que c’est ok) mais aussi pour mon vieux corps gavé de sucre depuis mon premier Tang.
Il y eu DUO Penotti, encore des italiens dis donc… à croire qu’ils nous veulent du mal. La publicité fait un peu penser à Quadro (de CEMOI, on n’y résiste pas… HOP ! )
et Milky Way évidemment « Maman, est-ce que c’est les vaches qui font les rayures ? »
Il me semble qu’il y avait une version Super Poulain mais je ne retrouve pas… encore plus introuvable, la version Aldi que je me suis enfilé un pot à la fois jusqu’au dégoût et la confirmation de mon allégeance au Nutella (ou « Nutos » pour les intimes). Parce que OK ça changeait un peu mais c’était quand même pas très bon… mi-chocolat, mi-carton, mi-sucre dans mes souvenirs. (oui ça fait 3 demis)
En plus tu t’imagines une belle tartine avec deux couleurs comme à la télé mais la réalité c’est ça :
Produit en 1982, Vincent a grandi dans les corons (ou presque) que chantait Pierre Bachelet et fervent supporter de l’équipe qui a vu évoluer Tony Vairelles à son plus haut niveau. Autant d’icônes avec des coiffures éclatées qui peuvent en partie expliquer la coupe au bol qu’il traîna toute son enfance comme un hommage à Mireille Mathieu. Ou c’était juste la mode.
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