Les peluches robotiques de Tiger Electronics (aujourd’hui Hasbro) sont apparues en France en 1998. Le Furby a été développé afin de concurrencer le tout aussi fameux Tamagotchi venu tout droit du Japon peu de temps auparavant.
Les peluches ressemblant vaguement a Gizmo (le Mogwaï des Gremlins) a la particluarité d’être interactive. Elle peut danser, parler, chanter grâce à une floppée de capteurs cachés sous sa fourrure et un squelette robotique qui faisait environ le bruit d’un avion au décollage à chaque mouvement.
Les Furbys parlent aussi entre eux en language Furbish ce qui est d’abord drôle et mignon mais vite flippant quand tu vois qu’ils parlent de toi en ricanant (#paranoia).
Les premières générations avaient une crête que mon petit frère s’était fait une joie de couper… tout comme la crête de sa peluche Simba. Je me rends compte que mon frère avait (a ?) un problème avec les cheveux.
Voici la publicité de l’époque :
Les Furbys ont été réédités en 2001 puis en 2012 par Hasbro.
Les toutes dernières version de 2016 ont des écrans à la place des yeux et fonctionnent avec une application mobile. Les prochaines versions seront programmées pour former une armée et se venger des maltraitances faites aux Furbys précèdents.
Produit en 1982, Vincent a grandi dans les corons (ou presque) que chantait Pierre Bachelet et fervent supporter de l’équipe qui a vu évoluer Tony Vairelles à son plus haut niveau. Autant d’icônes avec des coiffures éclatées qui peuvent en partie expliquer la coupe au bol qu’il traîna toute son enfance comme un hommage à Mireille Mathieu. Ou c’était juste la mode.
J’ai vu ce truc la première fois chez un ami en Belgique, les enfants m’ont montré comment l’embêter, il rote, il pète, il vomit avec des yeux courroucés, j’étais mort de rire. Et attention à ne pas le déranger sur son étagère sinon il commence à dire des grossièretés dans une langue mal définie.
Finalement, il ressemblait à mon matou gris, et me suis laissé surprendre à l’appeler « mon gros furby »…